Il n'y a pas de prisonnier de conscience, affirme le porte-parole du MAE vietnamien
HANOI - Amnesty International a de nouveau introduit intentionnellement dans son rapport des
informations fausses, infondées et totalement contraires à la vérité sur le Vietnam, a affirmé le porte-parole du
ministère vietnamien des Affaires Etrangères.
Répondant jeudi à la question des correspondants de l'AFP et de la radio BBC sur la réaction du Vietnam
au rapport annuel de l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International, le porte-parole du
MAE a indiqué:
Il convient de réffirmer qu'au Vietnam il n'y a pas de soi-disant "prisonnier de conscience" et les droits
fondamentaux des citoyens, dont la liberté d'expression, la liberté de presse, les libertés de rassemblement
ou de réunion, la liberté de manifestation, la liberté de création d'association, la liberté de croyance et de non
croyance, de religion sont garantis par la Constitution et respectés dans la réalité.
Tous les citoyens vietnamiens, a-t-il ajouté, sont égaux en droits et obligations devant la Constitution et la
loi, tout acte de violation de la loi est traitée selon la loi.
Agence Vietnamienne d'Information, le 31 Mai 2001.
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